Depuis la crise de 2008, les taux d’intérêt n’ont cessé de baisser, les obligations offrent des rendements beaucoup moins attractifs que dans le passé.
Les marchés actions continuent de progresser, avec moins de force et moins de lisibilité.
Sur les 3 dernières années, la volatilité des marchés financiers s’est accrue de façon significative.
Les portefeuilles actions et obligataires sont de plus en plus corrélés.
Depuis quelques années, les rendements des mandats gérés sont décevants alors que le risque et l’inconfort ont fortement monté.
Les frais bancaires et les frais de gestion sont trop élevés et ne sont pas alignés avec les intérêts des clients.
Notre constat
Les causes
Pour faire face à la crise de 2008, les États ont du mettre en place des politiques monétaires très accommodantes poussant les taux d’intérêt vers des niveaux historiquement bas, voir négatifs dans certains pays (Suisse, zone Euro…).
Les obligations d’États ont vu leurs rendements fortement baisser, poussant les investisseurs à les délaisser aux profits d’obligations plus rémunératrices, mais plus risquées et plus corrélées aux marchés actions.
Les mandats de gestions « balancés » s’appuyant sur une allocation diversifiée entre actions et obligations, historiquement décorrélés, ont perdu leur vertu du fait du changement de comportement entre actions et obligations.
La combinaison de frais élevés et du manque de diversification des portefeuilles pousse les gérants à prendre plus de risque pour leurs clients.